L'Arlèsienne!Présent à la photokina 1986, mais j'en avais déjà entendu parler au salon de Paris précédent (on disait alors que le modèle présenté était "factice") depuis totalement introuvable. J'ai entendu une rumeur qui disait que SLAVA, l'importateur, en avait distribué quelques-uns autour de Besançon à titre d'essai. Mais je n'en ai jamais vu en magasin... Jusqu'à ce jour de 1991 où je me suis arrêté au Leclerc de la Roche sur Yon pour acheter une bouteille d'eau, et où j'ai vu "CA" dans la vitrine du rayon photo; le vendeur n'a jamais du voir une vente pareille: "non, vous ne le déballez pas, vous ne me faites pas de démonstration, je le prends!"J'ai donc la boite d'origine en polystyrène, contenant le boitier et son objectif, ainsi que la sacoche en cuir avec 2 dragonnes, et l'adaptateur M42 spécialement étudié pour cet appareil.J'ai fait deux pellicules avec, avant d'oter la pile et de le ranger précieusement. C'est un automatique non débrayable, priorité à l'ouverture, obturateur textile; dans le viseur, deux diodes: si celle du haut reste allumée, trop de lumière (au dessus du 1/1000s) fermer le diaph; si celle du bas reste allumée, pas assez de lumière (au dessous du 1/30s), ouvrez le diaph ou utilisez un pied; si les deux diodes clignotent alternativement, vous pouvez déclencher!Sans pile, pas de déclenchement.
La bayonette K avec une découpe particulière en bas à droite, et avec l'adaptateur 42 à vis qui utilise cette découpe pour son verrouillage.
Commandé par Christophe pour exposer chez lui, dans le Midi. Le bouton de test de profondeur de champ est cassé et collé en place. L'objectif n'est pas celui d'origine (de 1991 alors que le boitier est de 1988).
Celui-ci a beaucoup vécu (manque la garniture du capot de pile), mais fonctionne. Arrivé avec un 2.8 / 135 Pentacon sur lequel était monté l'adaptateur M42, plutôt usé à force de manipulations. Son précédent propriétaire l'a acheté 950F à Thonon les bains en 1991.L'électronique porte la même petite carte supplémentaire que l'AUTOMAT-EFCO n°9108656, mais avec des composants différents; là aussi sans doute une réparation faite à l'usine.
Commandé pour son objectif inhabituel. Celui-ci est arrivé en panne (un contact tordu sous le sélecteur de modes). Le logo "Automat" était presque entièrement effacé, j'ai fait faire des décalcomanies pour le remplacer, voir aux pages bricolage.
Ce boitier est un peu plus ancien que les autres Automat (1987), le sélecteur de sensibilités est en GOST, les valeurs sont: 22..45..90..180..350..700..1400, correspondant aux valeurs 25..50..100..200.400..800..1600 sur les boitiers suivants, en GOST / ISO (nouvelles normes).
Même objectif que le précédent, fonctionnement a priori correct. J'ai fait la photo avant de poser un décalco pour refaire le logo.
Ce boitier est jusqu'ici le plus ancien de tous les Automat de cette collection (1986), j'ai pu constater deux différences intéressantes avec les boitiers plus récents:Les charnières du compartiment des piles sont en métal nu alors qu'elles sont peintes en noir sur les modèles postérieurs,Le revêtement n'a pas le même aspect, c'est celui des Zenit TTL, 12, 12xp, alors que les modèles plus récents ont un revêtement spécifique.
On remonte dans le temps, celui-ci est encore plus ancien! arrivé avec sa boite d'origine, les indications de l'objectif sont en cyrillique.
Faudrait te calmer, s'il te plait, il n'y a plus de place sur la page!Quand on marque Zenith au lieu de Zenit sur l'annonce, pas d'enchérisseurs!En cadeau, deux filtres et une pile neuve en plus de celle déjà dans le boitier.L'Helios 44K-4, classique, en écriture occidentale, n'a pas l'indication MC.
Celui-ci, c'est un des rares à porter sur son levier d'armement le logo de qualité d'URSS.L'obturateur ne fonctionne pas, je soupçonne l'électroaimant du premier rideau d'être grillé.